Je n’aurais jamais cru passer Ronceveau sous le soleil! Je m’étais même dit, « on connaît la chanson »…de Roland bien sûr!
Après nombre détours, j’arrivais à présent,
Au col de Ronceveau, fier comme un artaban,
Mais le brouillard encore, ici faisait rempart,
Me trouvais encerclé, entouré de toutes parts,
Je fus pris d’un courage, jusqu’alors inconnu,
Je passerai par bleu, ne m’avourai vaincu!
Tel le Roland d’antan, sur son cheval dressé,
J’utilisais ma lance, tant il était épée!
La Montagne céda, s’ouvrit la grande Brèche,
Me présentais alors, fît face à l’inconnu,
Je vis à cet instant, que je n’étais Perdu,
J’arrête mon récit, car à présent…je sèche
pas mal!!
tu ne t’es pas trop désoxygéné le cerveau encore 🙂
Bisous
☺